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Coopérations villes et montagnes
Coopérations villes et montagnes
Format d'animation
Atelier « World Café » en 3 temps
Animé par...
Louise Didier et Laurence Malaret
Auteur·e de la présente restitution
Laurence Malaret
Compte-rendus ou éléments saillants de l'atelier
Groupe : 9 personnes (composé de personnes d’origines et aux fonctions diverses)
Il est proposé au groupe de se diviser en 3. 3 personnes par paper-board pour réfléchir à une question en 15mn. Chaque groupe a un secrétaire participant, un « hôte » qui prend en note les discussions et résume au groupe suivant la discussion précédente, afin de poursuivre la réflexion. Pour en savoir plus sur la méthode du World Café clique ici.
Ce temps consistait à traiter 3 questions, écrites sur chacun des paper-board posés sur 3 tables séparées :
A l’issue des 15mn, le second temps permet une restitution fournie par les hôtes de façon synthétique, de l’ensemble des réflexions question par question.
Le troisième temps propose un rebond théorique par la personne à l’origine de l’atelier.
Vocabulaire : Désir? (derrière éros, corporel) envie ou besoin?
Notion de "nécessité profonde". La coopération n’est pas un gadget ou un fonctionnement imposé. Coopérer est une action volontaire « symbiotique ». On garde ainsi le sens de la coopération.
Aller au-delà de ce qu’on peut faire individuellement : intelligence collective, ce qui sous-entend le besoin de l’avoir observé, comprenant l’importance des traces par les témoignages de coopérations, ou le vécu, par les expériences irréversibles de coopérations « état de flow ».
Joie, satisfaction de faire au-delà du résultat, à travers le travail réalisé avec des gens que nous apprécions, sur des rencontres qui ont leur propre rythme à respecter (notion de temps et rythme).
Enrichissement, par la nourriture intellectuelle.
Attachement à une identité culturelle.
Sortir de son isolement, de sa zone de confort.
Complément post-atelier (Laurence) : Vis ma vie de… des temps proposés par des Pnrs et leurs partenaires pour favoriser l’échange entre urbains et montagnards dont les métiers se font en montagne, paysans, bucherons, charpentiers…
Faire front commun vis à vis du « contre » pour faire projet.
Partager, impliquant le fait de rendre visible et de créer des ponts entre villes représentant la diversité et l’ouverture et les montagnes.
Trouver le « bon » de chaque territoire, sans pour autant uniformiser, à valoriser comme des atouts.
Valoriser les expériences des deux territoires sans renoncer aux atouts respectifs.
Post-atelier (Laurence : comment le mot désir au travers de nos réflexions vient alimenter les coopérations) :
« le mot « désir » est un mot reliant nos êtres à notre façon d’agir, qui dans les coopérations fait référence à un acte de « sens » et fait appel à la notion d’appartenance à un groupe, une capacité à observer, appelant également le vécu, les expériences dans le faire ensemble. Il nous invite à sortir de notre zone de confort, nos représentations, notre isolement pour faire projet ensemble sans renoncer à nos spécificités respectives. »
L’équilibre des déplacements « Flux » Ex : pour les AMAP urbaines et montagnardes les réunions se font toujours en ville > Il y'aurait un équilibre à trouver et + de réunion à organiser dans les montagnes.
Pour trouver l’équilibre, il est nécessaire de relier les points de vues, les différents réflexes et repères pour s’adapter les uns aux autres.
Acter les complémentarités, les réciprocités passant par exemple par les lieux de consommation pour les ruraux et lieux de loisirs pour les urbains > Réflexion post-atelier (Laurence) : carto participative? outils graphiques en support?
Trouver un liant avec toutes les disparités dans une même entité administrative, ce qui induit la création d’une nouvelle identité (ni urbaine, ni montagnarde) qui consisterait à surmonter les limites administratives et géographiques.
S’appuyer sur davantage d’acteurs de la « société civile » passant par la création d’un « cluster » de ressources.
S’offrir + de convivialité passant par la création d’évènements inclusifs pour sortir de l’entre-soi des « convaincus ».
La question de l’échelle est posée : la ville? ex : Gap, Barcelonnette? ou Hautes-Alpes, Grenoble?
Création de plates-formes locales pour « permutualiser » (semi covoiturage, semi stop)
Création de système d’autopartage en réseau plus vastes, passant par une évaluation des solidarités à une échelle plus vaste, la création de SCICs…
Un maillage de trains plus importants et rendant plus accessible les métropoles pour désengorger les polarités
Les Alpes cumulent des contraintes géographiques, d’emplois et sociales
Revoir les conditions d’accueil des populations, sur les questions d’accès au foncier
Reprise de terres pour en faire des biens communs
Tourisme > MS (?) + TC (sigles à clarifier) éviter les nuisances
Mixer les services publics et devenir plus inclusif dans la gouvernance avec plus de démocratie directe et une représentation des usagers pouvant être force de mobilisation et de proposition
Favoriser les éco-interdépendances pour le tourisme dans les services de 0 à 1 km.
Post atelier (Laurence) : Ce « comment faire » fait surgir la nécessité de développer un volet important d’interconnaissance entre les habitants des différents territoires à l’échelle de bassins de vie, de travailler sur la circulation des personnes mais aussi sur les déplacements thématiques liés aux loisirs ou aux activités, ainsi qu’une volonté de transformer la manière de faire dans la gouvernance liée à l’organisation des services publics.
Le premier frein est visible dans le slash entre villes et montagnes.
Mais d’entrée de jeu, est posée la question de définition, qu’est-ce q’une ville et qu’est-ce que sont les montagnes. La question de seuil, en nombre de personnes, peut-elle être posée pour les coopérations? Autant les montagnes se démarquent par leurs spécificités liées au climat, différence de température mais aussi de services ou d’accès. Autant la ville se démarque par l’anonymisation due à la masse de personnes y résidant.
MAIS il semble important d’ACCEPTER une géométrie variable. Si nous prenons l’exemple de Dignes (ville de 16 000 habitants au recensement de 2017), il s’agit de la campagne pour Aix en Provence et d’une ville pour les villages l’entourant. Il reste important de définir les villes comme les montagnes, sachant qu’un ensemble ville & montagnes finit par faire un grand territoire.
Qu’est-ce que la coopération entre une ville et des montagnes? Si nous considérons que les coopérations se formalisent par des accords, nous pouvons considérer que les dispositifs qui en découlent peuvent être autant de freins que de facilitateurs. Ces coopérations se formalisent au travers d’accords (politiques) passés dans une commune, une Communauté des Communes, un bassin de vie (échelle facilitatrice) pour fournir des moyens et des services à la population. Le bassin de vie a une dimension locale. Est-ce que la dimension locale d’une ville égale la dimension locale des montagnes? Cette question fait surgir la question de réciprocité entre les deux espaces, si nous voulons considérer un ensemble ville et montagnes comme étant local.
Mais ces accords se font entre des territoires différents, compte tenu d’un passif, d’un ancrage humain pour l’intérêt général important dans les montagnes où vivent des gens qui se connaissent bien et un territoire urbain dans lequel les gens se connaissent moins. Mais attention aux idées reçues et préjugés car le rural se transforme, aujourd’hui habité par une population d’origine urbaine. Si nous regardons le secteur de Grenoble, entre la ville centre et les montagnes, il y a un espace d’interface (voir les travaux de Martin Vanier à ce sujet) dans laquelle les deux cultures pourraient être qualifiées avec prudence (compte tenu d’une transformation des espaces par l’origine de ceux qui y habitent) de « rurbaines » montagnardes et urbaines se croisent jouant un rôle d’intégration (cf. différent sur Rururban /terroir : MCDR Mobilisation Collective pour le Développement Rural, traitant la question alimentaire et du lien ville-campagne à ne pas confondre avec Rurbance Rural Urban Governace - Voir aussi Terres en ville).
Cette perception d’un espace multiculturel serait due à l’échelle. Si nous regardons la ville de Briançon, ville d’altitude (située à 1326m alt.). C’est une ville faite d’espaces de montagnes, nourrie des montagnes, marquée d’une identité forte, identité facilitatrice de coopérations. Le lien ville & montagnes se fait par la connexion des besoins de la villes et des montagnes qui serait facteur de coopération (cf. Voir la fresque de Julien Dossier, co-auteur de « Paris change d’ère » ou une vision de Paris à 2050 pour réussir la neutralité carbone. Fresque audio : https://www.renaissanceecologique.fr).
Au final, nous aurions autant de freins que de facilitateurs dans les coopérations, villes et montagnes mais si nous avons une vision séparée de ces différents espaces, composant les villes et les montagnes, des territoires, des bassins de vie construits par leurs habitants, nous ne favorisons pas la possibilité de créer un écosystème économique construit sur la base d’une économie interdépendante.
Ce rapide temps d’échange nous permet de tirer le fil d’un écheveau et de tisser des réponses sur la question « qu’est-ce qui donne le désir de coopérer? » entre habitants des montagnes et des villes. Nous pouvons continuer à tirer ce fil afin et alimenter l’écheveau, pour construire une trame autour des coopérations entre villes et montagnes.
Il est proposé au groupe de se diviser en 3. 3 personnes par paper-board pour réfléchir à une question en 15mn. Chaque groupe a un secrétaire participant, un « hôte » qui prend en note les discussions et résume au groupe suivant la discussion précédente, afin de poursuivre la réflexion. Pour en savoir plus sur la méthode du World Café clique ici.
Ce temps consistait à traiter 3 questions, écrites sur chacun des paper-board posés sur 3 tables séparées :
- • Qu’est ce qui donne le DESIR de coopérer? Question volontairement générale et principale
- • Comment FAIRE ensemble entre villes et montagnes?
- • Quels sont les FREINS et FACILITATEURS dans les coopérations villes/montagnes
A l’issue des 15mn, le second temps permet une restitution fournie par les hôtes de façon synthétique, de l’ensemble des réflexions question par question.
Le troisième temps propose un rebond théorique par la personne à l’origine de l’atelier.
Qu’est ce qui donne le DESIR de coopérer?
Vocabulaire : Désir? (derrière éros, corporel) envie ou besoin?
Notion de "nécessité profonde". La coopération n’est pas un gadget ou un fonctionnement imposé. Coopérer est une action volontaire « symbiotique ». On garde ainsi le sens de la coopération.
Que met-on derrière le désir? des désirs
Sentir, dans le fait de faire partie d’un groupe, qu’on est légitime : notion d’appartenance.Aller au-delà de ce qu’on peut faire individuellement : intelligence collective, ce qui sous-entend le besoin de l’avoir observé, comprenant l’importance des traces par les témoignages de coopérations, ou le vécu, par les expériences irréversibles de coopérations « état de flow ».
Joie, satisfaction de faire au-delà du résultat, à travers le travail réalisé avec des gens que nous apprécions, sur des rencontres qui ont leur propre rythme à respecter (notion de temps et rythme).
Enrichissement, par la nourriture intellectuelle.
Attachement à une identité culturelle.
Sortir de son isolement, de sa zone de confort.
Expériences
Association avec des gens qui viennent de la ville pour des ateliers à la ferme ou encore AMAP.Complément post-atelier (Laurence) : Vis ma vie de… des temps proposés par des Pnrs et leurs partenaires pour favoriser l’échange entre urbains et montagnards dont les métiers se font en montagne, paysans, bucherons, charpentiers…
Donner le désir de coopérer implique de :
Sortir des représentations, idées pré-concues (ruraux/néo-ruraux).Faire front commun vis à vis du « contre » pour faire projet.
Partager, impliquant le fait de rendre visible et de créer des ponts entre villes représentant la diversité et l’ouverture et les montagnes.
Trouver le « bon » de chaque territoire, sans pour autant uniformiser, à valoriser comme des atouts.
Valoriser les expériences des deux territoires sans renoncer aux atouts respectifs.
Post-atelier (Laurence : comment le mot désir au travers de nos réflexions vient alimenter les coopérations) :
« le mot « désir » est un mot reliant nos êtres à notre façon d’agir, qui dans les coopérations fait référence à un acte de « sens » et fait appel à la notion d’appartenance à un groupe, une capacité à observer, appelant également le vécu, les expériences dans le faire ensemble. Il nous invite à sortir de notre zone de confort, nos représentations, notre isolement pour faire projet ensemble sans renoncer à nos spécificités respectives. »
Comment FAIRE ensemble entre villes et montagnes?
Se comprendre, se connaitre/Casser les préjugés.
Faire dialoguer métropoles et (/) territoires ruraux.L’équilibre des déplacements « Flux » Ex : pour les AMAP urbaines et montagnardes les réunions se font toujours en ville > Il y'aurait un équilibre à trouver et + de réunion à organiser dans les montagnes.
Pour trouver l’équilibre, il est nécessaire de relier les points de vues, les différents réflexes et repères pour s’adapter les uns aux autres.
Acter les complémentarités, les réciprocités passant par exemple par les lieux de consommation pour les ruraux et lieux de loisirs pour les urbains > Réflexion post-atelier (Laurence) : carto participative? outils graphiques en support?
Trouver un liant avec toutes les disparités dans une même entité administrative, ce qui induit la création d’une nouvelle identité (ni urbaine, ni montagnarde) qui consisterait à surmonter les limites administratives et géographiques.
S’appuyer sur davantage d’acteurs de la « société civile » passant par la création d’un « cluster » de ressources.
S’offrir + de convivialité passant par la création d’évènements inclusifs pour sortir de l’entre-soi des « convaincus ».
Circulations des personnes
dans le sens d’une complémentarité entre les Alpes du Nord et les Alpes du Sud, sur les questions de transports en commun de mauvaise fluidité et non écologiques >La question de l’échelle est posée : la ville? ex : Gap, Barcelonnette? ou Hautes-Alpes, Grenoble?
Création de plates-formes locales pour « permutualiser » (semi covoiturage, semi stop)
Création de système d’autopartage en réseau plus vastes, passant par une évaluation des solidarités à une échelle plus vaste, la création de SCICs…
Circulation pour les loisirs, le tourisme et les activités
Rééquilibrage des activités, par le maintien et le renforcement de la ligne de train Gap-GrenobleUn maillage de trains plus importants et rendant plus accessible les métropoles pour désengorger les polarités
Les Alpes cumulent des contraintes géographiques, d’emplois et sociales
Revoir les conditions d’accueil des populations, sur les questions d’accès au foncier
Reprise de terres pour en faire des biens communs
Inverser les tendances
Sur les services publics en faisant des économies de moyens et de priorités en faisant des choix politiques (communs)Tourisme > MS (?) + TC (sigles à clarifier) éviter les nuisances
Mixer les services publics et devenir plus inclusif dans la gouvernance avec plus de démocratie directe et une représentation des usagers pouvant être force de mobilisation et de proposition
Favoriser les éco-interdépendances pour le tourisme dans les services de 0 à 1 km.
Post atelier (Laurence) : Ce « comment faire » fait surgir la nécessité de développer un volet important d’interconnaissance entre les habitants des différents territoires à l’échelle de bassins de vie, de travailler sur la circulation des personnes mais aussi sur les déplacements thématiques liés aux loisirs ou aux activités, ainsi qu’une volonté de transformer la manière de faire dans la gouvernance liée à l’organisation des services publics.
Quels sont les FREINS et FACILITATEURS dans les coopérations villes/montagnes?
Les groupes se sont exprimés à partir d’exemples concrets liés à leurs expériences de vie.Le premier frein est visible dans le slash entre villes et montagnes.
Mais d’entrée de jeu, est posée la question de définition, qu’est-ce q’une ville et qu’est-ce que sont les montagnes. La question de seuil, en nombre de personnes, peut-elle être posée pour les coopérations? Autant les montagnes se démarquent par leurs spécificités liées au climat, différence de température mais aussi de services ou d’accès. Autant la ville se démarque par l’anonymisation due à la masse de personnes y résidant.
MAIS il semble important d’ACCEPTER une géométrie variable. Si nous prenons l’exemple de Dignes (ville de 16 000 habitants au recensement de 2017), il s’agit de la campagne pour Aix en Provence et d’une ville pour les villages l’entourant. Il reste important de définir les villes comme les montagnes, sachant qu’un ensemble ville & montagnes finit par faire un grand territoire.
Qu’est-ce que la coopération entre une ville et des montagnes? Si nous considérons que les coopérations se formalisent par des accords, nous pouvons considérer que les dispositifs qui en découlent peuvent être autant de freins que de facilitateurs. Ces coopérations se formalisent au travers d’accords (politiques) passés dans une commune, une Communauté des Communes, un bassin de vie (échelle facilitatrice) pour fournir des moyens et des services à la population. Le bassin de vie a une dimension locale. Est-ce que la dimension locale d’une ville égale la dimension locale des montagnes? Cette question fait surgir la question de réciprocité entre les deux espaces, si nous voulons considérer un ensemble ville et montagnes comme étant local.
Mais ces accords se font entre des territoires différents, compte tenu d’un passif, d’un ancrage humain pour l’intérêt général important dans les montagnes où vivent des gens qui se connaissent bien et un territoire urbain dans lequel les gens se connaissent moins. Mais attention aux idées reçues et préjugés car le rural se transforme, aujourd’hui habité par une population d’origine urbaine. Si nous regardons le secteur de Grenoble, entre la ville centre et les montagnes, il y a un espace d’interface (voir les travaux de Martin Vanier à ce sujet) dans laquelle les deux cultures pourraient être qualifiées avec prudence (compte tenu d’une transformation des espaces par l’origine de ceux qui y habitent) de « rurbaines » montagnardes et urbaines se croisent jouant un rôle d’intégration (cf. différent sur Rururban /terroir : MCDR Mobilisation Collective pour le Développement Rural, traitant la question alimentaire et du lien ville-campagne à ne pas confondre avec Rurbance Rural Urban Governace - Voir aussi Terres en ville).
Cette perception d’un espace multiculturel serait due à l’échelle. Si nous regardons la ville de Briançon, ville d’altitude (située à 1326m alt.). C’est une ville faite d’espaces de montagnes, nourrie des montagnes, marquée d’une identité forte, identité facilitatrice de coopérations. Le lien ville & montagnes se fait par la connexion des besoins de la villes et des montagnes qui serait facteur de coopération (cf. Voir la fresque de Julien Dossier, co-auteur de « Paris change d’ère » ou une vision de Paris à 2050 pour réussir la neutralité carbone. Fresque audio : https://www.renaissanceecologique.fr).
Au final, nous aurions autant de freins que de facilitateurs dans les coopérations, villes et montagnes mais si nous avons une vision séparée de ces différents espaces, composant les villes et les montagnes, des territoires, des bassins de vie construits par leurs habitants, nous ne favorisons pas la possibilité de créer un écosystème économique construit sur la base d’une économie interdépendante.
Rebond théorique bref
Laurence, à l’origine de l’atelier, réalise actuellement un travail de thèse, à mi parcours, portant sur les coopérations montagnes et métropoles. Ce travail intègre les « communs » comme capacité à co-agir (se référant aux travaux théoriques de Elinor Ostrom portant sur la gouvernance des biens communs, abordés par ailleurs sur ce temps collectif Moustic, par Bernard en conférence gesticulée), ainsi que les travaux de Pierrre Dardot et Christian Laval, pour les principales références. Les coopérations territoriales, s’appuient sur quelques définitions que nous retrouvons dans l’ouvrage « un monde en recomposition, géographie des coopérations territoriales » sous la direction de Michel Bussi. Des coopérations subsidiaires (politiques) et communautaires (identitaires) que nous voyons clairement et naturellement apparaître dans les réflexions de cet atelier, et les coopérations stratégiques (économiques) qui apparaissent en filigrane ou plus subtilement. Chacune de ces coopérations prise indépendamment l’une de l’autre comporte des risques, entre autres celui du « repli sur soi » pour les coopérations communautaires, le risque d’un « esprit de compétition » favorisant les inégalités socio-spatiales surpassant l’esprit coopératif dans les coopérations stratégiques et le risque d’opportunisme ou technicisme que comporte les coopérations subsidiaires Le repérage des références en la matière laisse apparaitre un déficit, et des pistes à explorer portant sur l’observation des coopérations combinatoires. Ce travail de thèse, de donne comme objectif cette exploration pouvant faire apparaitre de nouvelles coopérations, et prévoit d’observer et d’analyser les coopérations formelles donnant lieu à l’établissement d’accords autant que les coopérations informelles, moins visibles et mouvantes dont nous ne savons pas ce qu’elles fabriquent, mais nourrissant les démarches coopérantes. Ces observations se font sur le terrain de la ville et des montagnes, dans un premier temps sur le secteur grenoblois, Une enquête est en cours auprès de collectifs, des immersions se font sur des temps organisés par des collectifs de type Moustic. Ces observations se poursuivront par la mise en place de focus groupe à la suite de l’enquête de terrain.Ce rapide temps d’échange nous permet de tirer le fil d’un écheveau et de tisser des réponses sur la question « qu’est-ce qui donne le désir de coopérer? » entre habitants des montagnes et des villes. Nous pouvons continuer à tirer ce fil afin et alimenter l’écheveau, pour construire une trame autour des coopérations entre villes et montagnes.
Accélérateur de projet "Cluster 05 : comment mieux communiquer entre et dans les structures de l'ESS ?"
Accélérateur de projet "Cluster 05 : comment mieux communiquer entre et dans les structures de l'ESS ?"
Format d'animation
Accéérateur de projet
Animé par...
Stéphanie Lucien-Brun
Auteur·e de la présente restitution
Nicolas Geiger
Compte-rendus ou éléments saillants de l'atelier
Projet de financement sur 4 Leader, coporté par les 5 structures (ADSB, ADELHA, France Active, MJC Briançon, UDESS 05)
4 axes
- communication
- connaissance des dispositifs publiques d’aide aux associations
- mutualisation de la trésorerie
- organiser les échanges de services entre structures de l’ESS
La problématique porte sur l’axe 1 « communication »
Un diagnostic a été fait
Il y a déjà eu des réunions physiques par le passé pour favoriser l’interconnaissance.
On ne se connaît pas entre nous, on n’arrive pas à se coordonner, on n’est pas connu du public, on n’est pas coordonnés sur nos événements
Ce qui exite déjà
- des calendriers partagés (mais pas par tous)
- des cartographie d’acteurs, mais déjà plusieurs en meme temps
- des newsletters en pagaille, mais pas du tout coordonné
Je souhaite que le groupe m’aide à trouver la méthode pour trouver les outils partagés, mutualisés, efficaces, qui ne soient pas une usine à gaz.
Le ou les outils cartographiques est-il contributif ? Non, pas partagé.
Quelles infos voulez-vous partager ? > d’abord, qui fait quoi. Ensuite, quand qui fait quoi (coordination des events et actu), partager nos fichiers/listings de com’. Diffuser ds infos-clés qui peuvent intéresser tout le monde
Quels freins à partager ses outils de com’ ? Ce n’est jamais la priorité, donc personne ne le fait.
Les 70 personnes déjà contactés se sont déjà réunis ? Comment fonctionne ce réseau ? Non, pas de réunion globale. Juste des groupes de travail thématiques de 10-15 personnes.
Etape 3 – Formulation de la demande au groupe
Je souhaite que le groupe m’aide à trouver comment et avec quels outils on va mieux communiquer entre nous , vis à vis des pouvoirs publics, vis à vis du grand public
« Faut pas que ça devienne une usine à gaz » > comment partir simple au début, alors que le projet est gros. Bien se reposer la question de l’intéret pour les partenaires d’y participer. Comment etre sur que les partenaires y gagnent plus de temps qu’ils n’en dépensent.
Expérience des Ifman : clarifier sur ce qui relève de chaque échelle. Voir le nombre d’intermédiaire existant lorsqu’une information circule > réduire le nombre de ces intermédiaires facilite la mise en commun / mutualisation.
APIDAE, base d’info touristique : les pro du tourisme remplissent une fiche-événement sur un outil central puis chaque commune / chaque OT vient y piocher et afficher les infos qui la concernent ou qui l’intéresse > pouvoir choisir /personnaliser finement le flux d’info qu’on veut recevoir.
Mais attention sur le coté « usine à gaz » d’APIDAE.
Point de vigilance pour que ce système ne profite qu’aux grosses structures. Qui va contribuer ? Comment se sentir légitime à contribuer, meme si on se considère que comme une petite structure locale.
Exemple d’un outil du genre « planning partagé » mis en place par la FFRP du 38, en lien avec les gardiens de refuge :
Comment ne pas faire Usine à gaz ?
Exemple de transiscope, le meta-portail qui agrège les infos des acteurs de la transition.
Dire « on est mauvais » nous envoie dans une logiue de jugement, ce qui freine la coopération. Plutôt chercher les motivations à faire ensemble, à partager , et prendre le temps de réfléchir sur les modes de communication.
Plutôt que de se concentrer sur l’outil informatique idéal, d’abord créer de la confiance et du lien (pour ne pas avoir peur de partager ses idées, de se les faire piquer) : des petits dej (en visio si distance) où les gens partagent les proets / infos de leur structures, avant de passer sur un mode écrit qui peut faire un peu peur.
Pour travailler la confiance, on peut aussi clarifier / recenser les craintes des participants sur ce projet.
Parler des métiers similaires entre les différentes structures , ou des métiers qui portent le même nom mais ne revêtent pas la même réalité > ca peut être un objet à valoriser/communiquer, sous forme de « dénonciation positive » (genre émission Carnet de Campagne)
Ex : pti dej où 1 personne présentent son métier + annonce ses événements dans le mois qui vient.
Quelle évaluation de ce projet ? Prévoir une phase-test, comité d’évaluation en continu.
Voir le livre « La rigueur du qualitatif »
Trouver l’angle d’approche commun entre ces 5 structures.
Clarifier l’intention (cf Claire Rosart)
La com’ interne et la com’ externe s’influencent l’une-l’autre. Plutôt partir de l’interne vers l’externe.
Prendre le temps d’aller interroger les institutions pour sonder leurs besoins et attentes.
A priori, Les collectivités devraient être très intéressées par un tel dispositif.
S’inspirer des outils existants (FFRP, Apidae….) pour les interroger sur leurs succès et échecs.
L’outil doit être un agrégateur, soit manuel (léger, mais demande de le faire « à la main »), soit techno (automatisé, mais risque d’usine à gaz)
Construire ces outils avec les EPCI : pas seulement communiquer « vers eux » mais communiquer « avec eux ».
Réfléchir à la pertinence de cercles par métiers pour communiquer : pas de com’ de structure à structure, mais plutôt de personne à personne notamment par métier proche.
Beaucoup apprécié la créativité collective, le rebond des idées.
Je repars avec une clarification de mes propres idées sur des projets voisins.
Le projet présenté est gros, mais bien apprécié l’IC de notre groupe.
Etape 1 – présentation du projet / de la problématique
Toutes les structures de l’ESS galèrent sur les questions de communication et des questions financières. Plusieurs partenaires des Hautes-Alps réfléchissent à comment stimuler les coopérations inter-structure pour sortir de ces difficultés.Projet de financement sur 4 Leader, coporté par les 5 structures (ADSB, ADELHA, France Active, MJC Briançon, UDESS 05)
4 axes
- communication
- connaissance des dispositifs publiques d’aide aux associations
- mutualisation de la trésorerie
- organiser les échanges de services entre structures de l’ESS
La problématique porte sur l’axe 1 « communication »
Un diagnostic a été fait
Il y a déjà eu des réunions physiques par le passé pour favoriser l’interconnaissance.
On ne se connaît pas entre nous, on n’arrive pas à se coordonner, on n’est pas connu du public, on n’est pas coordonnés sur nos événements
Ce qui exite déjà
- des calendriers partagés (mais pas par tous)
- des cartographie d’acteurs, mais déjà plusieurs en meme temps
- des newsletters en pagaille, mais pas du tout coordonné
Je souhaite que le groupe m’aide à trouver la méthode pour trouver les outils partagés, mutualisés, efficaces, qui ne soient pas une usine à gaz.
Etape 2 – questions de clarification
Interconnaissance est la clé du problème ? > il existe des outils partiels, mais ils ne sont pas connectés/reliés entre eux.Le ou les outils cartographiques est-il contributif ? Non, pas partagé.
Quelles infos voulez-vous partager ? > d’abord, qui fait quoi. Ensuite, quand qui fait quoi (coordination des events et actu), partager nos fichiers/listings de com’. Diffuser ds infos-clés qui peuvent intéresser tout le monde
Quels freins à partager ses outils de com’ ? Ce n’est jamais la priorité, donc personne ne le fait.
Les 70 personnes déjà contactés se sont déjà réunis ? Comment fonctionne ce réseau ? Non, pas de réunion globale. Juste des groupes de travail thématiques de 10-15 personnes.
Etape 3 – Formulation de la demande au groupe
Je souhaite que le groupe m’aide à trouver comment et avec quels outils on va mieux communiquer entre nous , vis à vis des pouvoirs publics, vis à vis du grand public
Etape 4 – Échanges
3 chantiers de com ‘, qui mixent les personnes issues de plusieurs structures.« Faut pas que ça devienne une usine à gaz » > comment partir simple au début, alors que le projet est gros. Bien se reposer la question de l’intéret pour les partenaires d’y participer. Comment etre sur que les partenaires y gagnent plus de temps qu’ils n’en dépensent.
Expérience des Ifman : clarifier sur ce qui relève de chaque échelle. Voir le nombre d’intermédiaire existant lorsqu’une information circule > réduire le nombre de ces intermédiaires facilite la mise en commun / mutualisation.
APIDAE, base d’info touristique : les pro du tourisme remplissent une fiche-événement sur un outil central puis chaque commune / chaque OT vient y piocher et afficher les infos qui la concernent ou qui l’intéresse > pouvoir choisir /personnaliser finement le flux d’info qu’on veut recevoir.
Mais attention sur le coté « usine à gaz » d’APIDAE.
Point de vigilance pour que ce système ne profite qu’aux grosses structures. Qui va contribuer ? Comment se sentir légitime à contribuer, meme si on se considère que comme une petite structure locale.
Exemple d’un outil du genre « planning partagé » mis en place par la FFRP du 38, en lien avec les gardiens de refuge :
Comment ne pas faire Usine à gaz ?
- • Fonctionner par itération : uniquement pour un type de structure ou pour un type d’activité
- • fonctionner par méta-info : agréger toutes les sources déjà existantes
Exemple de transiscope, le meta-portail qui agrège les infos des acteurs de la transition.
Dire « on est mauvais » nous envoie dans une logiue de jugement, ce qui freine la coopération. Plutôt chercher les motivations à faire ensemble, à partager , et prendre le temps de réfléchir sur les modes de communication.
Plutôt que de se concentrer sur l’outil informatique idéal, d’abord créer de la confiance et du lien (pour ne pas avoir peur de partager ses idées, de se les faire piquer) : des petits dej (en visio si distance) où les gens partagent les proets / infos de leur structures, avant de passer sur un mode écrit qui peut faire un peu peur.
Pour travailler la confiance, on peut aussi clarifier / recenser les craintes des participants sur ce projet.
Parler des métiers similaires entre les différentes structures , ou des métiers qui portent le même nom mais ne revêtent pas la même réalité > ca peut être un objet à valoriser/communiquer, sous forme de « dénonciation positive » (genre émission Carnet de Campagne)
Ex : pti dej où 1 personne présentent son métier + annonce ses événements dans le mois qui vient.
Quelle évaluation de ce projet ? Prévoir une phase-test, comité d’évaluation en continu.
Voir le livre « La rigueur du qualitatif »
Trouver l’angle d’approche commun entre ces 5 structures.
Clarifier l’intention (cf Claire Rosart)
La com’ interne et la com’ externe s’influencent l’une-l’autre. Plutôt partir de l’interne vers l’externe.
Prendre le temps d’aller interroger les institutions pour sonder leurs besoins et attentes.
A priori, Les collectivités devraient être très intéressées par un tel dispositif.
Etape 5 – synthèse et plan d’action par Jean
Des temps conviviaux de terrain et en visio :- • par ex, format court avec chacun·e qui annonce ses événement à venir, ou encore on se présente sur nos métiers
- • créer la confiance : poser les craintes et difficultés pressentis, définir les besoins
S’inspirer des outils existants (FFRP, Apidae….) pour les interroger sur leurs succès et échecs.
L’outil doit être un agrégateur, soit manuel (léger, mais demande de le faire « à la main »), soit techno (automatisé, mais risque d’usine à gaz)
Construire ces outils avec les EPCI : pas seulement communiquer « vers eux » mais communiquer « avec eux ».
Réfléchir à la pertinence de cercles par métiers pour communiquer : pas de com’ de structure à structure, mais plutôt de personne à personne notamment par métier proche.
Etape 6 – tour de clôture
La formule accélérateur permet d’avoir une vision globale, malgré la non-connaissance du territoire, des acteurs ni du projet.Beaucoup apprécié la créativité collective, le rebond des idées.
Je repars avec une clarification de mes propres idées sur des projets voisins.
Le projet présenté est gros, mais bien apprécié l’IC de notre groupe.
Fichier : AccelerateurDeProjetCluster05CommentMi_bf_notes_3.08.20_-accélérateur-projet-cluster05_-notes-agathe.pdf
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Atelier de dialogue territorial : pour consolider la solidarité sur les territoires
Atelier de dialogue territorial : pour consolider la solidarité sur les territoires
Format d'animation
Table découverte
Animé par...
Elsa Bonal, Déjà-là
Auteur·e de la présente restitution
Elsa Bonal, Déjà-là
Compte-rendus ou éléments saillants de l'atelier
Une vidéo restituant l'expérience d'un atelier de dialogue territorial est d'abord proposée aux participants de la table découverte.
Histoire de commencer par le concret.
L'atelier de Dialogue territorial est un dispositif élaboré par Elsa Bonal (Déjà-là) et mis en oeuvre avec différents territoires depuis.
Apprendre de l'autre est une voie pour construire les conditions de réciprocité et de reconnaissance mutuelle et tisser un dense réseau relationnel qui soit opérationnel. Se préoccuper de construire des territoires apprenants c'est agir pour une meilleure valorisation du potentiel de développement qui se love dans chacun de nos territoires.
Le recours à des méthodes d’intelligence collective permet aux réseaux de professionnels, à leurs collaborateurs potentiels, et éventuellement à leurs usagers, de construire ensemble une pensée collective et plurielle de leurs activités et des conditions d’un travail et d'un service de qualité.
L’atelier de dialogue territorial est co-construit avec les acteurs locaux pour fabriquer leur territoire apprenant : une vingtaine de professionnels montent un évènement pour 200 professionnels.
Véritables processus de coopération, les ateliers de dialogue territorial œuvrent à améliorer les pratiques ordinaires d’action et de coopération territoriales ; à expérimenter des outils et des méthodes pour mieux coopérer entre professionnels et développer la performance collective ; enfin, à amorcer une prospective en coopération pour maintenir les conditions d’un service de qualité à une pluralité d’usagers.
Les participants de la table de découverte de Moustic ont pu approfondir la rosace de l’atelier de dialogue territorial, avec ses 4 axes structurants :
1. Axe Nord : Valoriser l’existant, faire circuler l’information, reconnaître et célébrer
2. Axe Est : Résoudre des problèmes : problématiser des freins et des obstacles pour les traverser ; c’est construire le pouvoir d’agir en situation de freinage !
3. Axe Sud : Construire des actions collectives, mutualisées
4. Axe Ouest : Faire culture commune : penser à plusieurs : explorer une question, un geste de métier
Pour en savoir plus : www.deja-la.net
Histoire de commencer par le concret.
L'atelier de Dialogue territorial est un dispositif élaboré par Elsa Bonal (Déjà-là) et mis en oeuvre avec différents territoires depuis.
La crise sanitaire a réveillé de nouveaux désirs d’agir en coopération de proximité
Apprendre de l'autre est une voie pour construire les conditions de réciprocité et de reconnaissance mutuelle et tisser un dense réseau relationnel qui soit opérationnel. Se préoccuper de construire des territoires apprenants c'est agir pour une meilleure valorisation du potentiel de développement qui se love dans chacun de nos territoires.
Le recours à des méthodes d’intelligence collective permet aux réseaux de professionnels, à leurs collaborateurs potentiels, et éventuellement à leurs usagers, de construire ensemble une pensée collective et plurielle de leurs activités et des conditions d’un travail et d'un service de qualité.
L’atelier de dialogue territorial : un évènement co-construit
L’atelier de dialogue territorial est co-construit avec les acteurs locaux pour fabriquer leur territoire apprenant : une vingtaine de professionnels montent un évènement pour 200 professionnels.
Véritables processus de coopération, les ateliers de dialogue territorial œuvrent à améliorer les pratiques ordinaires d’action et de coopération territoriales ; à expérimenter des outils et des méthodes pour mieux coopérer entre professionnels et développer la performance collective ; enfin, à amorcer une prospective en coopération pour maintenir les conditions d’un service de qualité à une pluralité d’usagers.
La rose des vents de l'atelier de dialogue territorial
Les participants de la table de découverte de Moustic ont pu approfondir la rosace de l’atelier de dialogue territorial, avec ses 4 axes structurants :
1. Axe Nord : Valoriser l’existant, faire circuler l’information, reconnaître et célébrer
2. Axe Est : Résoudre des problèmes : problématiser des freins et des obstacles pour les traverser ; c’est construire le pouvoir d’agir en situation de freinage !
3. Axe Sud : Construire des actions collectives, mutualisées
4. Axe Ouest : Faire culture commune : penser à plusieurs : explorer une question, un geste de métier
Pour en savoir plus : www.deja-la.net
C'est quoi le problème avec les Gafam ?
C'est quoi le problème avec les Gafam ?
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Table découverte
Animé par...
Angie Gaudion
Auteur·e de la présente restitution
Angie Gaudion
Compte-rendus ou éléments saillants de l'atelier
Lien vers le support de l'intervention : https://asso.framasoft.org/nextcloud/s/CTmg8AJ3GFF5DHW
Une quinzaine de personnes sont venues se questionner sur les raisons pour lesquelles les géants du numérique sont un problème.
A mettre en résonance avec les contenus du MOOC Internet : pourquoi et comment reprendre le contrôle ?
https://mooc.chatons.org/
Une quinzaine de personnes sont venues se questionner sur les raisons pour lesquelles les géants du numérique sont un problème.
A mettre en résonance avec les contenus du MOOC Internet : pourquoi et comment reprendre le contrôle ?
https://mooc.chatons.org/
Cartographie participative avec OpenStreetMap
Cartographie participative avec OpenStreetMap
Format d'animation
Cartopartie, témoignage, atelier de découverte
Animé par...
Jean-Christophe Becquet - APITUX, Fabienne Morel - Centre de ressources
Auteur·e de la présente restitution
Jean-Christophe et Fabienne
Compte-rendus ou éléments saillants de l'atelier
Cartopartie
Outillés de Field papers (feuille A4 avec plan simplifié) et de smartphones (application Osmand) et avec l'aide des animateurices, des contributeurices novices ont découvert comment collecter de l'information sur le terrain. Boîtes postales, bancs publics, horaires divers... ces nouvelles informations sur la carte de Barret-sur-Méouge sont disponibles sur Openstreetmap.
Quelques infos complémentaires sur le wiki OSM.
Caresteouvert
Le sujet de l'édition de MOUSTIC avait pour objectif de faire un focus sur les projets de solidarité territoriale qui ont émergé pendant le confinement du printemps 2020 notamment en France.
L'occasion de témoigner sur le projet caresteouvert, un projet de cartes participatives qui s’appuie sur les données Openstreetmap né à Montrouge. Une carte qui permettait aux citoyens de voir quels étaient les services ou commerces ouverts avec leurs horaires et contraintes et les professionnels de le faire savoir. Ce projet s'est rapidement étendu à toute la France, puis au niveau mondial en améliorant la facilité de contribution et générer le moins d'erreur possible dans la base de données OSM.
Ça reste ouvert.
Atelier de découverte - utiliser les données d'Openstreetmap
Après une introduction à la structure des données openstreetmap, nous avons présenté l'interface de requêtes overpass puis la création de cartes personnalisées avec umap et enfin, l'utilisation de l'extension quickosm sous qgis.
Quelques ressources :
- Tutoriel partagé sous licence libre Creative Commons BY-SA par Carto'Cité Je valorise les données OpenStreetMap avec Overpass et uMap
- QuickOSM : extension QGIS pour effectuer des requêtes sur les données OpenStreetMap
- QGIS Utiliser des données OpenStreetMap via QuickOSM par Louernos Nature
- Introduction aux données OpenStreetMap (Structuration, interrogation, extraction et édition) par Boris Mericskay sous licence libre Creative Commons BY-SA
Suite à ces différentes animations, gageons avoir contaminé quelques personnes à développer des TOC - Trouble Obsessionnel Compulsif -
Outillés de Field papers (feuille A4 avec plan simplifié) et de smartphones (application Osmand) et avec l'aide des animateurices, des contributeurices novices ont découvert comment collecter de l'information sur le terrain. Boîtes postales, bancs publics, horaires divers... ces nouvelles informations sur la carte de Barret-sur-Méouge sont disponibles sur Openstreetmap.
Quelques infos complémentaires sur le wiki OSM.
Caresteouvert
Le sujet de l'édition de MOUSTIC avait pour objectif de faire un focus sur les projets de solidarité territoriale qui ont émergé pendant le confinement du printemps 2020 notamment en France.
L'occasion de témoigner sur le projet caresteouvert, un projet de cartes participatives qui s’appuie sur les données Openstreetmap né à Montrouge. Une carte qui permettait aux citoyens de voir quels étaient les services ou commerces ouverts avec leurs horaires et contraintes et les professionnels de le faire savoir. Ce projet s'est rapidement étendu à toute la France, puis au niveau mondial en améliorant la facilité de contribution et générer le moins d'erreur possible dans la base de données OSM.
Ça reste ouvert.
Atelier de découverte - utiliser les données d'Openstreetmap
Après une introduction à la structure des données openstreetmap, nous avons présenté l'interface de requêtes overpass puis la création de cartes personnalisées avec umap et enfin, l'utilisation de l'extension quickosm sous qgis.
Quelques ressources :
- Tutoriel partagé sous licence libre Creative Commons BY-SA par Carto'Cité Je valorise les données OpenStreetMap avec Overpass et uMap
- QuickOSM : extension QGIS pour effectuer des requêtes sur les données OpenStreetMap
- QGIS Utiliser des données OpenStreetMap via QuickOSM par Louernos Nature
- Introduction aux données OpenStreetMap (Structuration, interrogation, extraction et édition) par Boris Mericskay sous licence libre Creative Commons BY-SA
Suite à ces différentes animations, gageons avoir contaminé quelques personnes à développer des TOC - Trouble Obsessionnel Compulsif -
Comment se dégoogliser ?
Comment se dégoogliser ?
Format d'animation
Table découverte
Animé par...
Angie Gaudion
Auteur·e de la présente restitution
Angie Gaudion
Compte-rendus ou éléments saillants de l'atelier
Lien vers le support de l'intervention : https://asso.framasoft.org/nextcloud/s/jZBbReM76YB5Btm
Une quinzaine de personnes sont venues découvrir la méthode et les outils permettant de quitter petit à petit les services proposés par les géants du numérique.
A mettre en résonance avec les contenus du MOOC Internet : pourquoi et comment reprendre le contrôle ?
https://mooc.chatons.org/
Une quinzaine de personnes sont venues découvrir la méthode et les outils permettant de quitter petit à petit les services proposés par les géants du numérique.
A mettre en résonance avec les contenus du MOOC Internet : pourquoi et comment reprendre le contrôle ?
https://mooc.chatons.org/
Découvrir PeerTube
Découvrir PeerTube
Format d'animation
Table découverte
Animé par...
Angie Gaudion
Auteur·e de la présente restitution
Angie Gaudion
Compte-rendus ou éléments saillants de l'atelier
Lien vers le support d'intervention : https://asso.framasoft.org/nextcloud/s/tK9kf2pnx8Lm7Sz
Une dizaine de personnes sont venues découvrir ce qu'est PeerTube, en quoi c'est une alternative aux plateformes centralisatrices de diffusion de vidéos et comment ce logiciel libre fonctionne.
Une dizaine de personnes sont venues découvrir ce qu'est PeerTube, en quoi c'est une alternative aux plateformes centralisatrices de diffusion de vidéos et comment ce logiciel libre fonctionne.
L'école de dialogue territorial : apprendre et consolider ses pratiques de dialogue territorial
L'école de dialogue territorial : apprendre et consolider ses pratiques de dialogue territorial
Format d'animation
Table découverte
Animé par...
Elsa Bonal, Déjà-là
Auteur·e de la présente restitution
Elsa Bonal, Déjà-là
Compte-rendus ou éléments saillants de l'atelier
Plusieurs acteurs du dialogue territorial sont réunis autour d’un projet d’Ecole du dialogue territorial.
Les participants de la table de découverte de Moustic ont pu approfondir les éléments méthodologiques du dialogue territorial et découvrir l’école.
Le dialogue territorial mobilise les dimensions intellectuelles et rationnelles de la personne humaine, l’expérience sensible et les registres émotionnels. Il vise la compréhension mutuelle des perceptions et des besoins de chacun avant la recherche d’un accord. Les solutions sont élaborées en coopération avec la prise en compte des préoccupations essentielles de chacun et de l’intérêt commun
Le dialogue des savoirs est essentiel, entre disciplines scientifiques et techniques, mais aussi entre savoirs de spécialistes et savoirs profanes. Au service du dialogue, l’expertise est l’un des ingrédients et non l’objet central des échanges.
L’animateur du processus met en œuvre une posture de neutralité́ vis-à-vis
des participants, de leurs propos, et des solutions qui émergent. Son attitude repose sur une forte empathie, sur des convictions « humanistes » et sur sa confiance dans le potentiel altruiste de chaque individu.
C'est un espace de formation hors les murs, d’échanges de pratiques professionnelles et de recherche.
L’école est portée par un réseau de professionnels actifs dans le domaine du dialogue territorial depuis 20 ans. Elle réunit les compétences de formateurs et de praticiens associés à des chercheurs, des décideurs et des collectifs. Ses membres développent en continu des partenariats avec différents réseaux et territoires.
POUR en savoir plus : edt@geyser.asso.fr
Les participants de la table de découverte de Moustic ont pu approfondir les éléments méthodologiques du dialogue territorial et découvrir l’école.
Le dialogue territorial
Le dialogue territorial mobilise les dimensions intellectuelles et rationnelles de la personne humaine, l’expérience sensible et les registres émotionnels. Il vise la compréhension mutuelle des perceptions et des besoins de chacun avant la recherche d’un accord. Les solutions sont élaborées en coopération avec la prise en compte des préoccupations essentielles de chacun et de l’intérêt commun
Le dialogue des savoirs est essentiel, entre disciplines scientifiques et techniques, mais aussi entre savoirs de spécialistes et savoirs profanes. Au service du dialogue, l’expertise est l’un des ingrédients et non l’objet central des échanges.
L’animateur du processus met en œuvre une posture de neutralité́ vis-à-vis
des participants, de leurs propos, et des solutions qui émergent. Son attitude repose sur une forte empathie, sur des convictions « humanistes » et sur sa confiance dans le potentiel altruiste de chaque individu.
L’école du dialogue territorial
C'est un espace de formation hors les murs, d’échanges de pratiques professionnelles et de recherche.
L’école est portée par un réseau de professionnels actifs dans le domaine du dialogue territorial depuis 20 ans. Elle réunit les compétences de formateurs et de praticiens associés à des chercheurs, des décideurs et des collectifs. Ses membres développent en continu des partenariats avec différents réseaux et territoires.
POUR en savoir plus : edt@geyser.asso.fr
Fichier : LEcoleDeDialogueTerritorialApprendreEt_bf_notes_plaquette-edt.pdf
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L'incontournable Visio
L'incontournable Visio
Format d'animation
Table de découverte
Animé par...
Raphaëlle Daudé
Auteur·e de la présente restitution
Raphaëlle Daudé
Compte-rendus ou éléments saillants de l'atelier
Pour démarrer l'atelier "L'incontournable Visio" on commence comme toujours par se poser la question :
"QUELS SONT MES BESOINS" pour ensuite pouvoir "IDENTIFIER L'OUTIL LE PLUS ADAPTÉ" !!!
- pro ou perso ?
- individuel ou en groupe ?
Et identifier son objectif précis. Par exemple dans un contexte professionnel :
- Transmettre du savoir (type Webinaire ) à un réseau
- Coproduire, coanalyser en équipe
- Organiser des échanges pour aboutir à une décision collective (ex : AG)
- Former à distance et interagir avec mes stagiaires
- Équipement de bureau individuel : tour ou portable ; l’idéal est d’utiliser un casque avec un microphone intégré si vous êtes seul dans la pièce
--> Mieux vaut utiliser un ordinateur qu’un mobile pour son écran de taille supérieure et donc une meilleure visibilité.
- Équipement de salle de réunions ou de salle de formations pour 10-12 personnes
- Équipement pour grandes réunions ou conférences multisites
- un animateur : garant du fil rouge et du déroulement des échanges ; il veille à l'inclusion de tous les participants et à la prise de parole de chacun ; il pose le cadre et règles des échanges en début : couper le micro quand on intervient pas etc
- un secrétaire : assure la prise de note qui peut être aussi organisé de manière collaborative avec les participants en proposant un pad
- un tehcnicien visio : qui intègre l'arrivée des nouvelles personnes dans la visio, l'éventuelle assistance téléphonique pour des réglages de micro etc, le suivi du tchat, la gestion de sous groupes, de partage de document etc...
"QUELS SONT MES BESOINS" pour ensuite pouvoir "IDENTIFIER L'OUTIL LE PLUS ADAPTÉ" !!!
QUELS SONT MES BESOINS ?
Il faut évaluer son niveau d'usage de la visio :- pro ou perso ?
- individuel ou en groupe ?
Et identifier son objectif précis. Par exemple dans un contexte professionnel :
- Transmettre du savoir (type Webinaire ) à un réseau
- Coproduire, coanalyser en équipe
- Organiser des échanges pour aboutir à une décision collective (ex : AG)
- Former à distance et interagir avec mes stagiaires
IDENTIFIER L'OUTIL LE PLUS ADAPTÉ !
Cf guide produit par l'ADRETS : https://adrets-asso.fr/wakka.php?wiki=UsagesDeLaVisioncommunicationEtRecommandatQuel équipement
- Téléphone mobile Smartphone- Équipement de bureau individuel : tour ou portable ; l’idéal est d’utiliser un casque avec un microphone intégré si vous êtes seul dans la pièce
--> Mieux vaut utiliser un ordinateur qu’un mobile pour son écran de taille supérieure et donc une meilleure visibilité.
- Équipement de salle de réunions ou de salle de formations pour 10-12 personnes
- Équipement pour grandes réunions ou conférences multisites
Quel logiciel / application utiliser
Les questions à se poser pour choisir "sa" bonne solution !?- ◦ Usage : pro ou perso ?
- ◦ Type : logiciel (nécessite une installation par les participants) ou une application web services de visioconférence (qui n’obligent pas à installer un logiciel et peuvent fonctionner avec un navigateur Internet)
- ◦ Création de compte pour accéder à la visio ?
- ◦ Compatibilité matériels : ordinateur / tablette / smart phone
- ◦ Licence : Libre ou propriétaire ?
- ◦ Quel usage des données ?
- ◦ Prix ?
- ◦ Fonctionnalités : partage écrans, chat, réglages matériel audio,création de salles pour animation de sous groupes, enregistrements, diffusion streaming direct, planifications de réunions, joignable par tel audio, Messagerie de groupe privée ou public, transcriptions des discussions, Retouches vidéos et arrières plans virtuels
- ◦ Quel niveau d'inclusion : retranscription/soustitrage autres langues ? prise en compte des personnes malentendantes ?
- ◦ Nb de participants maximum ?
- ◦ Niveau de sécurité ?
- ◦ Ergonomie ?
- ◦ Se faire un avis sur les points faibles et les points forts en faisant des recherches sur la solution (sites web comparatifs)
Quelle méthode d'animation mettre en place pour des réunions avec échanges dans un contexte pro ?
Il est encore plus important de bien préparer sa réunion et d'organiser les échanges ! Si l'on travaille en équipe, l'idéal est d'avoir la configuration suivante :- un animateur : garant du fil rouge et du déroulement des échanges ; il veille à l'inclusion de tous les participants et à la prise de parole de chacun ; il pose le cadre et règles des échanges en début : couper le micro quand on intervient pas etc
- un secrétaire : assure la prise de note qui peut être aussi organisé de manière collaborative avec les participants en proposant un pad
- un tehcnicien visio : qui intègre l'arrivée des nouvelles personnes dans la visio, l'éventuelle assistance téléphonique pour des réglages de micro etc, le suivi du tchat, la gestion de sous groupes, de partage de document etc...
Fichier : LIncontournableVisio_bf_notes_2015_guide_recommandations-animation-visio_adrets.pdf
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la nuée communauté numérique de reseaux de projets
la nuée communauté numérique de reseaux de projets
Format d'animation
information
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Thierry Mignot
Auteur·e de la présente restitution
Thierry Mignot
Compte-rendus ou éléments saillants de l'atelier
La nuée
communauté numérique de réseaux de projets
mail : lanuee-request@coop-group.org
site: http://coop-group.org/lanuee/
communauté numérique de réseaux de projets
mail : lanuee-request@coop-group.org
site: http://coop-group.org/lanuee/
Qu'est ce que la nuée ?
Une communauté numérique qui permet de proposer des projets fonctionnels ou de reflexion faisant appel à l IC ou sur des projets d'expérimentation en ICComment ca marche ?
je m'inscris sur le site, je vais recevoir entre 2 et 5 mails bref ( 5 lignes) par semaine sur la mise en ligne de nouveaux projets , sur les petits pas effectué par les projets existants , et une fois par mois un mail pour la visio de rencontre. cette inscription est gratuite et la sortie de la liste peux être faite a tout moment.Qu est ce que je peux y déposer , qu'est ce que je peux y recevoir ?
Je peux proposer mes projets et enrichir la réflexion sur des thèmes que je souhaite partager sur lequel je recherche des personnes ressources pour enrichir ma réflexion. je peux déposer ma recherche de personnes ressources sur le thème que je vais aborder. Je vais recevoir en tant que porteur de projets, l'adhésion de personnes qui souhaite participer à la réalisation de ce projet. je laisse une traces des avances du projet sur le site et éventuellement les conclusion du projet pour enrichir les connaissances de la communauté sur le thème que j 'ai traité avec le groupe constitué. la gestion de projet se fait hors nuée, et la propriété des productions est à définir avec les acteurs lors de la mise sa place .Le Bar a sirop autogéré : une expérience participative pour les enfants
Le Bar a sirop autogéré : une expérience participative pour les enfants
Format d'animation
Atelier participatif
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Aurélie (11 ans) , Alice (9 ans), Lancement Emmanuelle Vidal-Naquet
Auteur·e de la présente restitution
Emmanuelle Vidal-Naquet
Compte-rendus ou éléments saillants de l'atelier
Le Bar a sirop des enfants est une expérience d'autogestion participative pour les enfants ( et les plus grands ?)
Cet atelier permet de donner un place aux enfants dans un évènement participatif.
Nous avions déja vécue cette expérience avec mes enfants Aurélie et Alice, dans le cadre d'un semaine de camping participatif autogéré à Cravirola , la communauté du maquis (http://www.cravirola.com) et cela avait été trés chouette, donc a a réitéré pour moustic.
J'ai donc briefé mes filles pour les prévenir qu'elle devait transmettre aux autres enfants le fonctionnement du Bar a sirop.
Principe général :
Les organisateurs avancent les premières bouteilles de sirop, donne le matériel et indication de base nécessaire aux enfants (verre, 1 table, ou prendre de l'eau ou gérer les galon ou l'eau fraiche, ou faire la vaisselle ...).
Les consignes qui leur sont données :
SURTOUT LAISSER LES ENFANTS SE DÉBROUILLER et S'ORGANISER ENSEMBLE, NE PAS S'EN MÊLER !
Et vous verrez que magiquement ils y arrive trés bien, seront capable de racheter des bouteilles de sirops et de faire tout ce qu'il faut sans anicroches. Ils sont surprenant.
A MOUSTIC
Le dimanche matin, les enfants ont installé leur bar et se sont débrouillés, ils ont vécue une expérience stimulante à leur rythme, tenant le bar quand il en avait envie, sans pour autant se sentir obligé d'être la en permanence.
Ainsi chaque enfant qui le souhaitait à pris part au projet.
Au début ils ont expérimenter : des cocktails de sirop un peu bizarre, la problématique d'avoir de l'eau fraiche, comment gérer les verre en consigne, le tarif 0.5€ ou 1€ ou prix libre ?, ils se sont adaptés aux situations
Le dimanche aprés midi, suite à l'atelier cuisine parents/enfants, ou ils ont fait des biscuits et des cokies, ils ont décidés de le vendre comme les autres gâteaux 1€.
A la fin de la journée ils étaient trés fiers de leur recette (autour d'une trentaine d'euros), mais trés déçus quand on leur a dit qu'elle n'était pas pour eux mais pour payer les matière première (sirop et biscuits). Manifestement nous n'avions pas bien transmis l'information de départ ou en tout cas elle n'avait pas été bien intégrée.
Face à leur déception nous avons un peu réfléchi, le but de l'expérience n'est pas de les transformer en commerciaux avides d'argent mais de s'essayer à la gestion collective d'un petit stand. Pour autant ils étaient trés investis et s'amusaient beaucoup, donc ils ne fallait pas casser leur élan.
Nous avons questionné certains enfants sur ce qu'ils voulaient faire de l'argent, parmi les réponses il y a avait s'acheter un glace à la baratte (l'épicerie d'ecoloc). Nous avons donc retenu qu'à la fin de Moustic la recette servirait à leur acheter la glace de leur choix à l'épicerie.
Le lundi les enfants ont rajouté des granité au menus et le mardi ils ont refait des cookies.
Chaque étapes a été l'occasion de faire des expériences de manière autonome, d'apprendre des choses, de lancer des idées et s'amuser.
Finalement, le mercredi lors du rangement, nous avons rendus aux enfants présents la recette du lundi et du mardi et ils se sont partagé de manière équitable à 6 la quarantaine d'euros, et ils ont été trés satisfaits.
Cet atelier permet de donner un place aux enfants dans un évènement participatif.
Nous avions déja vécue cette expérience avec mes enfants Aurélie et Alice, dans le cadre d'un semaine de camping participatif autogéré à Cravirola , la communauté du maquis (http://www.cravirola.com) et cela avait été trés chouette, donc a a réitéré pour moustic.
J'ai donc briefé mes filles pour les prévenir qu'elle devait transmettre aux autres enfants le fonctionnement du Bar a sirop.
Principe général :
Les organisateurs avancent les premières bouteilles de sirop, donne le matériel et indication de base nécessaire aux enfants (verre, 1 table, ou prendre de l'eau ou gérer les galon ou l'eau fraiche, ou faire la vaisselle ...).
Les consignes qui leur sont données :
- c'est à vous de gérer le bar faites comme vous voulez, mais tous les enfants ont le droits de participer
- A vous de fixer le prix de vos verres de sirop pour pouvoir racheter les prochaines bouteilles
SURTOUT LAISSER LES ENFANTS SE DÉBROUILLER et S'ORGANISER ENSEMBLE, NE PAS S'EN MÊLER !
Et vous verrez que magiquement ils y arrive trés bien, seront capable de racheter des bouteilles de sirops et de faire tout ce qu'il faut sans anicroches. Ils sont surprenant.
A MOUSTIC
Le dimanche matin, les enfants ont installé leur bar et se sont débrouillés, ils ont vécue une expérience stimulante à leur rythme, tenant le bar quand il en avait envie, sans pour autant se sentir obligé d'être la en permanence.
Ainsi chaque enfant qui le souhaitait à pris part au projet.
Au début ils ont expérimenter : des cocktails de sirop un peu bizarre, la problématique d'avoir de l'eau fraiche, comment gérer les verre en consigne, le tarif 0.5€ ou 1€ ou prix libre ?, ils se sont adaptés aux situations
Le dimanche aprés midi, suite à l'atelier cuisine parents/enfants, ou ils ont fait des biscuits et des cokies, ils ont décidés de le vendre comme les autres gâteaux 1€.
A la fin de la journée ils étaient trés fiers de leur recette (autour d'une trentaine d'euros), mais trés déçus quand on leur a dit qu'elle n'était pas pour eux mais pour payer les matière première (sirop et biscuits). Manifestement nous n'avions pas bien transmis l'information de départ ou en tout cas elle n'avait pas été bien intégrée.
Face à leur déception nous avons un peu réfléchi, le but de l'expérience n'est pas de les transformer en commerciaux avides d'argent mais de s'essayer à la gestion collective d'un petit stand. Pour autant ils étaient trés investis et s'amusaient beaucoup, donc ils ne fallait pas casser leur élan.
Nous avons questionné certains enfants sur ce qu'ils voulaient faire de l'argent, parmi les réponses il y a avait s'acheter un glace à la baratte (l'épicerie d'ecoloc). Nous avons donc retenu qu'à la fin de Moustic la recette servirait à leur acheter la glace de leur choix à l'épicerie.
Le lundi les enfants ont rajouté des granité au menus et le mardi ils ont refait des cookies.
Chaque étapes a été l'occasion de faire des expériences de manière autonome, d'apprendre des choses, de lancer des idées et s'amuser.
Finalement, le mercredi lors du rangement, nous avons rendus aux enfants présents la recette du lundi et du mardi et ils se sont partagé de manière équitable à 6 la quarantaine d'euros, et ils ont été trés satisfaits.
Le réseau des Oreilles Curieuses
Le réseau des Oreilles Curieuses
Format d'animation
Accélérateur de projet
Animé par...
Julie et Joanne
Auteur·e de la présente restitution
Agathe, porteur du projet
Compte-rendus ou éléments saillants de l'atelier
Voici en pièce jointe mes notes concernant l'accélérateur de projet autour du développement de l'infolettre du Média des Acteurs.
L'idée était de "booster" le projet Média des Acteurs en tant que média local et participatif:
- comment encourager la participation des citoyens?
- et pourquoi monter un réseau d'Oreilles Curieuses, de relayeurs d'infos?
Les participants nous ont donnée des idées de médias de proximité, d'optimisation de outils de communication de l'existant et de comment encourager l'implication citoyenne.
Des idées qui vont nous servir très prochainement au sein du groupe communication du projet!
Merci!!
L'idée était de "booster" le projet Média des Acteurs en tant que média local et participatif:
- comment encourager la participation des citoyens?
- et pourquoi monter un réseau d'Oreilles Curieuses, de relayeurs d'infos?
Les participants nous ont donnée des idées de médias de proximité, d'optimisation de outils de communication de l'existant et de comment encourager l'implication citoyenne.
Des idées qui vont nous servir très prochainement au sein du groupe communication du projet!
Merci!!
Fichier : LeReseauDesOreillesCurieuses_bf_notes_04.08.20_-accélérateur-projet-infolettre-mda_-événement-moustic_-notes-agathe.pdf.pdf
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Projet Cluster 05 : comment créer des coopérations concrètes entre acteurs de l'ESS / innovation sociale sur un territoire ?
Projet Cluster 05 : comment créer des coopérations concrètes entre acteurs de l'ESS / innovation sociale sur un territoire ?
Format d'animation
Atelier participatif + présentation projet
Animé par...
Jean Horgues-Debat
Auteur·e de la présente restitution
Nicolas Geiger
Compte-rendus ou éléments saillants de l'atelier
COODYSSEE
Ludothèque Pic et Colégram guillestrois Queyras
Sel laragne
court circuit
synergie emploi sisteronnais buech
soupe et bobines
Le Hang'art
L'Envolée Sisteron Gap
Amap de Veynes
VBTDT Veynes Buech, tennis de table
tiers lieu rural buech (Nicole Moyse)
SCIC "Carline" épicerie bio DIE
Cie circulaire
CIPRA
ACDR
SCOP CAE ELYCOOP grand Lyon
Loco motiv (Lyon)
NEF
ENERCOOP
MAIF
Sur les expériences des participants, quels sont les éléments les plus positifs de votre engagement dans le monde associatif / ESS ?
Valeurs
Lien social
ré-insertion,
recyclage
infobésité et outils-bésité (trop de com’)
Facteurs humains : renouvellement des bénévoles, gouvernance, prendre des décisions à plusieurs
Trouver des financements dans les projets à LT
Relations avec les Collectivités locales et les élu·e·s
Financier : comment avoir de l’argent sans perdre sans âme
site commun entre SEL Sisteron et les Mées,
recours à des prestations mutualités (créacoop),
Le média des acteurs
Locommun (Gap),
projet de tiers lieu de mutualisation Sisteron
MedNum
Et aussi :
Projet financé par le programme Leader (axe « coopération) sur les 4 territoires qui couvrent les Hautes-Alpes.
Quelles sont les structures / personnes qui peuvent participer ?
Toute structure de l’ESS, mais aussi hors-ESS : des entrepreneur·euses ou société privée qui œuvrent dans l’innovation sociale.
Quelles sont les portes d’entrées dans le projet ?
L’animation du projet devrait débuter en 2021, avec
En savoir plus : https://www.udess05.org/nos-actions/cluster-05-is/
CR atelier Cluster 05 – dimanche
Participants, acteurs de différentes structures ESS
ADELHACOODYSSEE
Ludothèque Pic et Colégram guillestrois Queyras
Sel laragne
court circuit
synergie emploi sisteronnais buech
soupe et bobines
Le Hang'art
L'Envolée Sisteron Gap
Amap de Veynes
VBTDT Veynes Buech, tennis de table
tiers lieu rural buech (Nicole Moyse)
SCIC "Carline" épicerie bio DIE
Cie circulaire
CIPRA
ACDR
SCOP CAE ELYCOOP grand Lyon
Loco motiv (Lyon)
NEF
ENERCOOP
MAIF
Sur les expériences des participants, quels sont les éléments les plus positifs de votre engagement dans le monde associatif / ESS ?
1/ les éléments positifs
Facteur humainValeurs
Lien social
ré-insertion,
recyclage
2/ les éléments de difficultés/négatif
Inter-communicationinfobésité et outils-bésité (trop de com’)
Facteurs humains : renouvellement des bénévoles, gouvernance, prendre des décisions à plusieurs
Trouver des financements dans les projets à LT
Relations avec les Collectivités locales et les élu·e·s
Les besoins identifiés par l’UDESS / le projet Cluster
Communication : chacun fait (mal) dans son coinFinancier : comment avoir de l’argent sans perdre sans âme
Proposition globale = la solution est dans la coopération !
Projet de coopération mentionnés par les participant·e·s
Autour de la com
Réseau des ludothèques (ludanbule) "coup de cœur des ludothèques" événement commun sur Gap tous les ans,site commun entre SEL Sisteron et les Mées,
recours à des prestations mutualités (créacoop),
Le média des acteurs
Autour des locaux
CEM, COLLECTIf ESPACE MULTICULTUREL, avec mutualisation entre 5 structures dont "le Hang'art" (Serres)Locommun (Gap),
projet de tiers lieu de mutualisation Sisteron
Réseaux nationaux, ou thématiques
réseau d’acteurs sur les tiers-lieux,),MedNum
Et aussi :
- • Plainte contre X Vs rester ouvert à Y
- • outils et formation : UdN (Université du nous), intelligence collective, vision 2021 (formation consentement et gouvernance)
Les 5 axes du projet Cluster
- 1. Mieux communiquer
- a. entre nous (se connaître)
- b. vers l’extérieur
- 2. Mutualiser le matériel et/ou les locaux : mettre en commun, partager nos ressources matérielles
- 3. Coopérer sur les aspects financiers : notamment sur les prêts de trésorerie (certaines structures en galère de tréso, quand certaines ont des excédents potentiellement à prêter)
- 4. Mutualiser des compétences : ex de groupements d’employeurs
- 5. Coopérer sur des projets : notamment pour accéder à des gros projet appels à projets (avec des gros tickets d’entrées) ou monter des projets plus riches car on y croise nos secteurs/nos spécialités. Principe = sortir de nos niches
Projet financé par le programme Leader (axe « coopération) sur les 4 territoires qui couvrent les Hautes-Alpes.
Quelles sont les structures / personnes qui peuvent participer ?
Toute structure de l’ESS, mais aussi hors-ESS : des entrepreneur·euses ou société privée qui œuvrent dans l’innovation sociale.
Quelles sont les portes d’entrées dans le projet ?
L’animation du projet devrait débuter en 2021, avec
- • en local : des réunions, des groupes de travail
- • à distance / numérique : des outils de com’, plateforme mutualisée…
En savoir plus : https://www.udess05.org/nos-actions/cluster-05-is/
Fichier : ProjetCluster05CommentCreerDesCooperati_bf_notes_liens-participants-moustic-2020.odt
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Recette de la Marmite Joyeuse : l'omelette de patate de xavier
Recette de la Marmite Joyeuse : l'omelette de patate de xavier
Format d'animation
Atelier cuisine
Animé par...
Xavier LINARES
Auteur·e de la présente restitution
Emmanuelle Vidal-Naquet
Compte-rendus ou éléments saillants de l'atelier
Y'a rien a faire l'omelette de patate de mon chéri est ultra bonne, je sais pas comment il fait, mais c'est comme ca.
Ingredient par personne :
-100g de patate (variété à cuire au four)
- 20g d'oignon
- 1 oeuf
- persil et coriandre
- sel poivre
Recette :
1. Couper les patates en cube avec la peau
2. Couper l'oignons en lamelle
3. Faire cuire dans un plat huilé au four à 180°C pendant 1h
Vous pouvez préparer les patates la veille
4. Battre l'oeuf , salée poivrer
5. Verser le mélange sur les patates/oignons cuits, dans un moule huilé
6. Parsemer avec les herbes fraiches hachées
7. Faire Cuire 10 minutes au four180°C
Servir froid ou chaud.
Ingredient par personne :
-100g de patate (variété à cuire au four)
- 20g d'oignon
- 1 oeuf
- persil et coriandre
- sel poivre
Recette :
1. Couper les patates en cube avec la peau
2. Couper l'oignons en lamelle
3. Faire cuire dans un plat huilé au four à 180°C pendant 1h
Vous pouvez préparer les patates la veille
4. Battre l'oeuf , salée poivrer
5. Verser le mélange sur les patates/oignons cuits, dans un moule huilé
6. Parsemer avec les herbes fraiches hachées
7. Faire Cuire 10 minutes au four180°C
Servir froid ou chaud.
Recette de la Marmite Joyeuse : la Soupe au Pistou
Recette de la Marmite Joyeuse : la Soupe au Pistou
Format d'animation
Atelier cuisine
Animé par...
Karima, et Emmanuelle
Auteur·e de la présente restitution
Emmanuelle Vidal-Naquet
Compte-rendus ou éléments saillants de l'atelier
La soupe au Pistou fait parti de ces plats traditionnels dont chaque famille a une recette personnelle.
Voici la recette de la soupe au pistou de karima
Ingredients :
- 800g d'haricots plats
- 500g d'haricots cocos blancs frais
- 500g d'haricots cocos rouges frais
- 3 pommes de terre moyennes
- 2 courgettes moyennes
- 300 g de coquillette
- 1kg de tomates
- tête d'ail
- 2 bouquet de basilic
- 200ml d'huile d'olive
- 300g de parmesan rapé
sel, poivre, ...
Recette
1. Ecosser les haricots cocos, et les mettre à cuire 20 minutes dans 5 L d'eau salée
2. Aprés 20 minutes, les haricots plats couper en morceux de 2cm
3. Aprés 15 minutes ajouter dans l'ordre :
4. Faire tremper 3 minutes le reste des tomates dans le bouillon pour les pelées
5. Peler puis mixer les tomates, réserver le coulis.
6. Vérifier la cuisson des haricots, les cocos doivent être fondants, mais ne pas se deliter. (Si nécessaire prolonger un peu la cuisson)
7. Rajouter les coquillettes, faire cuire encore 8 minutes puis rajouter le coulis de tomate et arrêter la soupe.
8. Pendant ce temps préparer le pistou :
9. Mélanger le Pistou à la soupe (Attention, la soupe ne doit pas être bouillante sinon ça tue le gout du pistou, elle ne doit pas non plus rebouillir si on la réchauffe). Réserver un petite portion de pistou pour ceux qui en veulent plus. Rectifier l’assaisonnementde la soupe en sel si nécéssaire.
10. Servir chaud en mettant à disposition du parmesan et un peu de pistou pour ceux qui veulent en rajouter
et Régalez vous.
La version Emmanuelle (mais vous ne l'avez pas goutée)
Recette familiale de tonton valette
Tout pareil sauf que :
- Je mets des haricots vert au lieux de haricots plats.
- Je rajoute en début de cuisson la couenne d'un talon de jambon cuit et d'un talon de jambon cru ( dans ce cas attention à le pas trop saler)
Et surtout ne jamais faire bouillir la soupe quand le pistou a été rajouter (je le répéte mais on ne le dit jamais assez), car sinon elle perd tout son goût.
Voici la recette de la soupe au pistou de karima
Ingredients :
- 800g d'haricots plats
- 500g d'haricots cocos blancs frais
- 500g d'haricots cocos rouges frais
- 3 pommes de terre moyennes
- 2 courgettes moyennes
- 300 g de coquillette
- 1kg de tomates
- tête d'ail
- 2 bouquet de basilic
- 200ml d'huile d'olive
- 300g de parmesan rapé
sel, poivre, ...
Recette
1. Ecosser les haricots cocos, et les mettre à cuire 20 minutes dans 5 L d'eau salée
2. Aprés 20 minutes, les haricots plats couper en morceux de 2cm
3. Aprés 15 minutes ajouter dans l'ordre :
- les pommes de terre coupé en cube de 1.5cm,
- les courgettes coupe en cube
- 2 tomates en morceaux
4. Faire tremper 3 minutes le reste des tomates dans le bouillon pour les pelées
5. Peler puis mixer les tomates, réserver le coulis.
6. Vérifier la cuisson des haricots, les cocos doivent être fondants, mais ne pas se deliter. (Si nécessaire prolonger un peu la cuisson)
7. Rajouter les coquillettes, faire cuire encore 8 minutes puis rajouter le coulis de tomate et arrêter la soupe.
8. Pendant ce temps préparer le pistou :
- Peler l'ail et le mixer
- Rajouter les feuille de basilic et mixer
- Monter le pistou avec l'huile d'olive (en mixant rajouter l'huile doucement en filet)
- Rajouter 200g parmesan.
9. Mélanger le Pistou à la soupe (Attention, la soupe ne doit pas être bouillante sinon ça tue le gout du pistou, elle ne doit pas non plus rebouillir si on la réchauffe). Réserver un petite portion de pistou pour ceux qui en veulent plus. Rectifier l’assaisonnementde la soupe en sel si nécéssaire.
10. Servir chaud en mettant à disposition du parmesan et un peu de pistou pour ceux qui veulent en rajouter
et Régalez vous.
La version Emmanuelle (mais vous ne l'avez pas goutée)
Recette familiale de tonton valette
Tout pareil sauf que :
- Je mets des haricots vert au lieux de haricots plats.
- Je rajoute en début de cuisson la couenne d'un talon de jambon cuit et d'un talon de jambon cru ( dans ce cas attention à le pas trop saler)
- Au moment où on met les pommes de terre, je rajoute, un oignon coupé et la viandes des talons de jambon coupée en dés.
Et surtout ne jamais faire bouillir la soupe quand le pistou a été rajouter (je le répéte mais on ne le dit jamais assez), car sinon elle perd tout son goût.
Recette de la Marmite Joyeuse : le Fromage blanc aux agrumes
Recette de la Marmite Joyeuse : le Fromage blanc aux agrumes
Format d'animation
Atelier cuisine
Animé par...
Xavier LINARES
Auteur·e de la présente restitution
Emmanuelle Vidal-Naquet
Compte-rendus ou éléments saillants de l'atelier
Mélanger dans l'ordre les ingrédients suivant
- 1kg de fromage blanc battu
- 330g de crême fraiche épaisse
- 130 g de sucre
- 1 orange zeste + jus
- 1 citron zeste + jus
et c'est tout.
Trop dur comme recette !-)
REGALEZ-VOUS
- 1kg de fromage blanc battu
- 330g de crême fraiche épaisse
- 130 g de sucre
- 1 orange zeste + jus
- 1 citron zeste + jus
et c'est tout.
Trop dur comme recette !-)
REGALEZ-VOUS
Recette de la Marmite Joyeuse : le gateau au citron
Recette de la Marmite Joyeuse : le gateau au citron
Format d'animation
Atelier cuisine
Animé par...
Xavier LINARES
Auteur·e de la présente restitution
Emmanuelle Vidal-Naquet
Compte-rendus ou éléments saillants de l'atelier
Rajouter dans l'ordre, en mélangeant un peu entre chaque :
- 150g de sucre
- 120g de beurre fondu
- Le zeste d'un citron
- 3 oeufs
- 150g de farine
- 1/2 sachet de levure chimique
- 80g de jus de citron
La pâte doit être lisse est homogène.
La versée dans un moule beurré
Cuisson à 170°C :
Le temps de cuisson dépend du moule donc surveiller quand ça commence à colorer, vérifier la cuisson en plantant un couteau dedans, si la lame ressort propre c'est cuit.
Indication :
- Environ 12 minutes pour les petits moules plat de 8cm de diamètre sur 1.5cm d'épaisseur (le format de gâteaux servis à Moustic),
- 150g de sucre
- 120g de beurre fondu
- Le zeste d'un citron
- 3 oeufs
- 150g de farine
- 1/2 sachet de levure chimique
- 80g de jus de citron
La pâte doit être lisse est homogène.
La versée dans un moule beurré
Cuisson à 170°C :
Le temps de cuisson dépend du moule donc surveiller quand ça commence à colorer, vérifier la cuisson en plantant un couteau dedans, si la lame ressort propre c'est cuit.
Indication :
- Environ 12 minutes pour les petits moules plat de 8cm de diamètre sur 1.5cm d'épaisseur (le format de gâteaux servis à Moustic),
- Pour un moule a gâteau standard moule rond de 27 cm de diamètre sur 3 cm de haut : entre 20 et 30 minutes
Recette de la Marmite Joyeuse : Moelleux au chocolat
Recette de la Marmite Joyeuse : Moelleux au chocolat
Format d'animation
Atelier cuisine
Animé par...
Xavier LINARES
Auteur·e de la présente restitution
Emmanuelle Vidal-Naquet
Compte-rendus ou éléments saillants de l'atelier
Rajouter dans l'ordre, en mélangeant un peu entre chaque :
- 150g de chocolat noir pâtissier à 65%
- 100g de beurre fondu
- 60g de sucre
- 3 oeufs
- 30g de farine de mais (sinon de blé)
La pâte doit être lisse est homogène.
La versée dans un moule beurré
Cuisson à 170°C : Attention la réussite du gâteau dépend de la cuisson : le Gâteau doit rester coulant
Le temps de cuisson dépend du moule vérifier la cuisson, le dessus du gâteaux parait cuit, il n'est plus tremblotant, mais en plantant un couteau dedans, la lame ne ressort pas propre.
Indication :
- Environ 8 minutes pour les petits moules carré plat de 6cm de coté sur 1.5cm d'épaisseur (le format de gâteaux servis à Moustic),
- Pour un moule a gâteau standard moule rond de 27 cm de diamètre sur 3 cm de haut : entre 12 à 15 minutes
- 150g de chocolat noir pâtissier à 65%
- 100g de beurre fondu
- 60g de sucre
- 3 oeufs
- 30g de farine de mais (sinon de blé)
La pâte doit être lisse est homogène.
La versée dans un moule beurré
Cuisson à 170°C : Attention la réussite du gâteau dépend de la cuisson : le Gâteau doit rester coulant
Le temps de cuisson dépend du moule vérifier la cuisson, le dessus du gâteaux parait cuit, il n'est plus tremblotant, mais en plantant un couteau dedans, la lame ne ressort pas propre.
Indication :
- Environ 8 minutes pour les petits moules carré plat de 6cm de coté sur 1.5cm d'épaisseur (le format de gâteaux servis à Moustic),
- Pour un moule a gâteau standard moule rond de 27 cm de diamètre sur 3 cm de haut : entre 12 à 15 minutes
Sobriété numérique
Sobriété numérique
Format d'animation
Mini-Arpentage + Discussion
Animé par...
Guillaume Déjy
Auteur·e de la présente restitution
Guillaume Déjy
Compte-rendus ou éléments saillants de l'atelier
Bonjour à toutes et tous,
Voici une copie des documents partagés avec vous lors de l'atelier sobriété numérique.
Pour plus d'infos concernant l'impact environnemental du numérique, je vous invite à consulter les publications du collectif GreenIT :
https://www.greenit.fr/
ou à me contacter si besoin de plus d'infos ou d'échanger sur le sujet : guillaume.dejy_at_keub.org (remplacer at par @)
Voici une copie des documents partagés avec vous lors de l'atelier sobriété numérique.
Pour plus d'infos concernant l'impact environnemental du numérique, je vous invite à consulter les publications du collectif GreenIT :
https://www.greenit.fr/
ou à me contacter si besoin de plus d'infos ou d'échanger sur le sujet : guillaume.dejy_at_keub.org (remplacer at par @)
Fichier : SobrieteNumerique_bf_notes_docsateliersobrietenumeriquemoustic.pdf
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Solidarité numérique et continuité pédagogique à Aix-en-Provence
Solidarité numérique et continuité pédagogique à Aix-en-Provence
Format d'animation
Table de découverte
Animé par...
Arnaud Battarel (Anonymal)
Auteur·e de la présente restitution
Raphaëlle Daudé (complété par Arnaud Battarel) (complété par Mathilde Dupré)
Compte-rendus ou éléments saillants de l'atelier
Suite à la crise sanitaire, Anonymal a mis en place sur Aix-en-Provence un dispositif complet qui permet d'équiper en matériel informatique les familles en grandes difficultés et de les accompagner dans leurs usages numériques et de les raccrocher aux actions de soutien scolaires existantes sur le territoire.
Tout démarre à partir d'une alerte venant de la métropole, du service de cohésion sociale : beaucoup d'élèves décrochent !
En tant que lieu ressources du territoire (actions historiques de médiation numérique et label Fabrique de territoires), Anonymal mets en place un dispositif d'équipement et d'accompagnement de ces familles en lien avec les centres sociaux et équipements de proximité aixois et le service cohésion sociale.
Pour identifier les besoins de manière précise et se mettre en lien avec les familles, un gros travail partenarial inédit a été amorcé et devrait perdurer !
Il a fallu établir des indicateurs pour choisir quelles familles seraient accompagnées de manière prioritaires.
Le dispositif prévoit également de former d'autres accompagnants que ceux de la structure Anonymal pour démultiplier les actions de médiation et d'inclusion numérique.
Au delà de la continuité pédagogique, le dispositif a permis de travailler plus globalement sur l'accès aux droits de ces familles. Le public est donc double : les jeunes, mais aussi les parents !
L'éducation nationale a montré un intérêt pour cette initiative et joue désormais le rôle de facilitateur pour faire remonter les besoins des familles.
On a aussi parlé plus globalement de l'inclusion numérique avec :
Le kit d'intervention rapide de la mission société numérique : https://kit-inclusion.societenumerique.gouv.fr/
et surtout le site de démonstration des impôts qui permet de faire toutes les simulations - sans compte utilisateurs : https://www.impots.gouv.fr/portail/www2/fichiers/didacticiels/partenaires/services_en_ligne/part/
Tout démarre à partir d'une alerte venant de la métropole, du service de cohésion sociale : beaucoup d'élèves décrochent !
En tant que lieu ressources du territoire (actions historiques de médiation numérique et label Fabrique de territoires), Anonymal mets en place un dispositif d'équipement et d'accompagnement de ces familles en lien avec les centres sociaux et équipements de proximité aixois et le service cohésion sociale.
Pour identifier les besoins de manière précise et se mettre en lien avec les familles, un gros travail partenarial inédit a été amorcé et devrait perdurer !
Il a fallu établir des indicateurs pour choisir quelles familles seraient accompagnées de manière prioritaires.
Le dispositif prévoit également de former d'autres accompagnants que ceux de la structure Anonymal pour démultiplier les actions de médiation et d'inclusion numérique.
Au delà de la continuité pédagogique, le dispositif a permis de travailler plus globalement sur l'accès aux droits de ces familles. Le public est donc double : les jeunes, mais aussi les parents !
L'éducation nationale a montré un intérêt pour cette initiative et joue désormais le rôle de facilitateur pour faire remonter les besoins des familles.
On a aussi parlé plus globalement de l'inclusion numérique avec :
Le kit d'intervention rapide de la mission société numérique : https://kit-inclusion.societenumerique.gouv.fr/
et surtout le site de démonstration des impôts qui permet de faire toutes les simulations - sans compte utilisateurs : https://www.impots.gouv.fr/portail/www2/fichiers/didacticiels/partenaires/services_en_ligne/part/
Fichier : SolidariteNumeriqueEtContinuitePedagogique_bf_notes_presentation-solidarite-numerique-moustic2020.pdf
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Tous propriétaires
Tous propriétaires
Format d'animation
Conférence gesticulée
Animé par...
Bernard Brunet
Auteur·e de la présente restitution
Bernard Brunet
Compte-rendus ou éléments saillants de l'atelier
Lien vers la vidéo de la première représentation de la conférence (sur Youtube) : https://youtu.be/eqyvQkHtEgk
Lie vers un article de fond sur les communs : https://creg.ac-versailles.fr/la-gouvernance-des-biens-communs-au-service-du-bien-commun
Elinor Ostrom, 2009 : La Gouvernance des biens communs : Pour une nouvelle approche des ressources naturelles [« Governing the Commons : The Evolution of Institutions for Collective Action »], Edition De Boeck
Benjamin Coriat, 2017 : « Vers une république des biens communs ? ». Éditions « les liens qui libèrent »
David Bollier
La renaissance des communs [Livre] pour une société de coopération et de partage
Editeur : Ed. C. L. Mayer
La notion de communs recouvre l'ensemble des ressources dont chacun peut jouir librement : l'eau, la terre, les forêts, mais aussi les créations artistiques, l'information ou la culture. Si ce patrimoine est aujourd'hui menacé, il peut, exploité de façon collective et responsable, représenter une solution aux problèmes économiques contemporains.
Benjamin Coriat Le retour des communs [Livre] la crise de l'idéologie propriétaire
Editeur : Éditions les Liens qui libèrent
Un essai centré autour des communs, qui constituent un espoir de transformation sociale à partir d'institutions et d'entreprises qui proposent des ressources en accès ouvert. Développe une réflexion sur les potentialités qu'offre le renouveau de ces communaux collaboratifs
Dardot et Laval : Commun [Livre] essai sur la révolution du XXIe siècle
Editeur : la Découverte
Partout dans le monde, des mouvements contestent l'appropriation par une petite oligarchie des ressources naturelles, des espaces et des services publics, des connaissances et des réseaux de communication. Ces luttes élèvent toutes une même exigence, reposent toutes sur un même principe : le commun. Pierre Dardot et Christian Laval montrent pourquoi ce principe s'impose aujourd'hui comme le terme central de l'alternative politique pour le XXIe siècle : il noue la lutte anticapitaliste et l'écologie politique par la revendication des "communs" contre les nouvelles formes d'appropriation privée et étatique ; il articule les luttes pratiques aux recherches sur le gouvernement collectif des ressources naturelles ou informationnelles ; il désigne des formes démocratiques nouvelles qui ambitionnent de prendre la relève de la représentation politique et du monopole des partis
Hervé Le Crsonier : En communs [Livre] une introduction aux communs de la connaissance
Editeur : C & F éditions
Recueil d'articles de l'auteur, spécialiste des technologies de l'Internet et de la culture numérique, sur la notion de "communs", les pratiques collaboratives et l'organisation de communautés pour gérer les ressources partagées. La première partie est consacrée à la théorie des biens communs, la seconde aux communs de la connaissance et leurs enjeux pour les bibliothèques
Lawrence Lessig : L'avenir des idée, le sort des biens communs à l'heure des réseaux numériques
Editeur : Presses universitaires de Lyon
L'hostilité de Lawrence Lessig à l'égard des dérives monopolistiques et des excès de la réglementation, notamment celle du droit d'auteur, ne se fonde pas sur des présupposés idéologiques, mais sur une analyse précise, illustrée par de nombreuses études de cas, des conséquences catastrophiques pour l'innovation et la créativité que ne manqueront pas d'avoir les évolutions récentes de l'architecture de Internet. De plus en plus fermée et centralisée, celle-ci est en train de stériliser la prodigieuse inventivité à laquelle l'Internet a pu donner lieu à ses débuts. Historien scrupuleux des trente années de développement de ce moyen de communication interactif, d'échange de connaissances, de création de richesses intellectuelles sans précédent, Lawrence Lessig pose le problème en juriste, mais aussi en philosophe et en politique. C'est une certaine idée du partage des savoirs et de la création artistique qui est en jeu dans les tendances actuelles qui dénaturent les principes démocratiques de l'Internet originel. Cette étude parfaitement documentée est aussi un pressant cri d'alarme.
Collectif CNRS : Repenser les biens communs
L'eau, l'air, les ressources naturelles et les fonds marins, certains médicaments, le spectre hertzien, le numérique... peuvent être analysés comme des "biens communs". Nécessaires à tous, il convient d'en offrir l'usage à chacun. Mais par quels outils ? Si, au Moyen-Age, il existait des biens communaux et des droits d'usage, comme celui des forêts, le droit moderne occidental a fait de la propriété, publique ou privée, la pierre angulaire de tous les rapports entre les personnes et les choses. Après la chute du Mur, la privatisation des biens a même fini par devenir le dogme. Avec parfois des dérives dramatiques : ainsi, en Bolivie, la privatisation de l'eau au cours des années 2000 a eu pour conséquence de soulever une véritable révolte des populations locales. Suite à la "guerre de l'eau" dite de "Cochacamba", cette ressource y est désormais un bien commun, et la constitution bolivienne est une des premières à reconnaître cette notion. Comment régler les droits d'accès et la protection de certains biens que l'on considère comme essentiels pour la survie de l'espèce ! Quels mécanismes juridiques utiliser pour en protéger et en partager l'accès ? Si penser les biens communs est une absolue nécessité, c'est aussi une impasse intellectuelle de notre droit, qui ne dispose pas de réponses satisfaisantes dans ses catégories classiques.
Dictionnaire des biens communs
Sous la direction de Marie Cornu, Fabienne Orsi, Judith Rochfeld
Que sont les « communs », les « biens communs », les « patrimoines communs », les « choses communes » ?Ces notions sont fortement mobilisées aujourd'hui dans nombre de disciplines des sciences sociales et actions de citoyens. Leur poussée traduit une évolution des pratiques sociales : sous la pression de la crise écologique et de la transformation numérique notamment, les biens seraient davantage mis en partage. Logiciel libre, encyclopédie et habitat participatif, vélos ou voitures en usage successif, entreprise qui serait le « bien commun » de toutes les parties prenantes : les notions des communs intéressent les domaines de la culture, de la protection de l'environnement, de l'urbanisme, de la santé, de l'innovation, du travail, etc. La mobilisation est intense car elles autorisent à penser le changement social sur la base d'un réinvestissement du collectif, des communautés, de l'usage et du partage. Elles permettent de proposer des réinterprétations des valeurs fondatrices des sociétés contemporaines tels le rôle de l'État, de la propriété et des formes d'expression de la démocratie. Elles appellent à la fois une réflexion théorique, un débat politique et se concrétisent dans des expériences citoyennes. Ce dictionnaire, à mi-chemin entre le vocabulaire et l'encyclopédie, se veut un outil de compréhension de l'ensemble de ces phénomènes.
Liens
Lien vers la vidéo de la première représentation de la conférence (sur Peertube) : https://peertube.iriseden.eu/videos/watch/9e6e5c11-8d92-4842-937b-75d3369cc01fLien vers la vidéo de la première représentation de la conférence (sur Youtube) : https://youtu.be/eqyvQkHtEgk
Lie vers un article de fond sur les communs : https://creg.ac-versailles.fr/la-gouvernance-des-biens-communs-au-service-du-bien-commun
Bibliographie
Elinor Ostrom, 2009 : La Gouvernance des biens communs : Pour une nouvelle approche des ressources naturelles [« Governing the Commons : The Evolution of Institutions for Collective Action »], Edition De Boeck
Benjamin Coriat, 2017 : « Vers une république des biens communs ? ». Éditions « les liens qui libèrent »
David Bollier
La renaissance des communs [Livre] pour une société de coopération et de partage
Editeur : Ed. C. L. Mayer
La notion de communs recouvre l'ensemble des ressources dont chacun peut jouir librement : l'eau, la terre, les forêts, mais aussi les créations artistiques, l'information ou la culture. Si ce patrimoine est aujourd'hui menacé, il peut, exploité de façon collective et responsable, représenter une solution aux problèmes économiques contemporains.
Benjamin Coriat Le retour des communs [Livre] la crise de l'idéologie propriétaire
Editeur : Éditions les Liens qui libèrent
Un essai centré autour des communs, qui constituent un espoir de transformation sociale à partir d'institutions et d'entreprises qui proposent des ressources en accès ouvert. Développe une réflexion sur les potentialités qu'offre le renouveau de ces communaux collaboratifs
Dardot et Laval : Commun [Livre] essai sur la révolution du XXIe siècle
Editeur : la Découverte
Partout dans le monde, des mouvements contestent l'appropriation par une petite oligarchie des ressources naturelles, des espaces et des services publics, des connaissances et des réseaux de communication. Ces luttes élèvent toutes une même exigence, reposent toutes sur un même principe : le commun. Pierre Dardot et Christian Laval montrent pourquoi ce principe s'impose aujourd'hui comme le terme central de l'alternative politique pour le XXIe siècle : il noue la lutte anticapitaliste et l'écologie politique par la revendication des "communs" contre les nouvelles formes d'appropriation privée et étatique ; il articule les luttes pratiques aux recherches sur le gouvernement collectif des ressources naturelles ou informationnelles ; il désigne des formes démocratiques nouvelles qui ambitionnent de prendre la relève de la représentation politique et du monopole des partis
Hervé Le Crsonier : En communs [Livre] une introduction aux communs de la connaissance
Editeur : C & F éditions
Recueil d'articles de l'auteur, spécialiste des technologies de l'Internet et de la culture numérique, sur la notion de "communs", les pratiques collaboratives et l'organisation de communautés pour gérer les ressources partagées. La première partie est consacrée à la théorie des biens communs, la seconde aux communs de la connaissance et leurs enjeux pour les bibliothèques
Lawrence Lessig : L'avenir des idée, le sort des biens communs à l'heure des réseaux numériques
Editeur : Presses universitaires de Lyon
L'hostilité de Lawrence Lessig à l'égard des dérives monopolistiques et des excès de la réglementation, notamment celle du droit d'auteur, ne se fonde pas sur des présupposés idéologiques, mais sur une analyse précise, illustrée par de nombreuses études de cas, des conséquences catastrophiques pour l'innovation et la créativité que ne manqueront pas d'avoir les évolutions récentes de l'architecture de Internet. De plus en plus fermée et centralisée, celle-ci est en train de stériliser la prodigieuse inventivité à laquelle l'Internet a pu donner lieu à ses débuts. Historien scrupuleux des trente années de développement de ce moyen de communication interactif, d'échange de connaissances, de création de richesses intellectuelles sans précédent, Lawrence Lessig pose le problème en juriste, mais aussi en philosophe et en politique. C'est une certaine idée du partage des savoirs et de la création artistique qui est en jeu dans les tendances actuelles qui dénaturent les principes démocratiques de l'Internet originel. Cette étude parfaitement documentée est aussi un pressant cri d'alarme.
Collectif CNRS : Repenser les biens communs
L'eau, l'air, les ressources naturelles et les fonds marins, certains médicaments, le spectre hertzien, le numérique... peuvent être analysés comme des "biens communs". Nécessaires à tous, il convient d'en offrir l'usage à chacun. Mais par quels outils ? Si, au Moyen-Age, il existait des biens communaux et des droits d'usage, comme celui des forêts, le droit moderne occidental a fait de la propriété, publique ou privée, la pierre angulaire de tous les rapports entre les personnes et les choses. Après la chute du Mur, la privatisation des biens a même fini par devenir le dogme. Avec parfois des dérives dramatiques : ainsi, en Bolivie, la privatisation de l'eau au cours des années 2000 a eu pour conséquence de soulever une véritable révolte des populations locales. Suite à la "guerre de l'eau" dite de "Cochacamba", cette ressource y est désormais un bien commun, et la constitution bolivienne est une des premières à reconnaître cette notion. Comment régler les droits d'accès et la protection de certains biens que l'on considère comme essentiels pour la survie de l'espèce ! Quels mécanismes juridiques utiliser pour en protéger et en partager l'accès ? Si penser les biens communs est une absolue nécessité, c'est aussi une impasse intellectuelle de notre droit, qui ne dispose pas de réponses satisfaisantes dans ses catégories classiques.
Dictionnaire des biens communs
Sous la direction de Marie Cornu, Fabienne Orsi, Judith Rochfeld
Que sont les « communs », les « biens communs », les « patrimoines communs », les « choses communes » ?Ces notions sont fortement mobilisées aujourd'hui dans nombre de disciplines des sciences sociales et actions de citoyens. Leur poussée traduit une évolution des pratiques sociales : sous la pression de la crise écologique et de la transformation numérique notamment, les biens seraient davantage mis en partage. Logiciel libre, encyclopédie et habitat participatif, vélos ou voitures en usage successif, entreprise qui serait le « bien commun » de toutes les parties prenantes : les notions des communs intéressent les domaines de la culture, de la protection de l'environnement, de l'urbanisme, de la santé, de l'innovation, du travail, etc. La mobilisation est intense car elles autorisent à penser le changement social sur la base d'un réinvestissement du collectif, des communautés, de l'usage et du partage. Elles permettent de proposer des réinterprétations des valeurs fondatrices des sociétés contemporaines tels le rôle de l'État, de la propriété et des formes d'expression de la démocratie. Elles appellent à la fois une réflexion théorique, un débat politique et se concrétisent dans des expériences citoyennes. Ce dictionnaire, à mi-chemin entre le vocabulaire et l'encyclopédie, se veut un outil de compréhension de l'ensemble de ces phénomènes.
Fichier : TousProprietaires_bf_notes_art_biens_communs.pdf
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Un CHATONs sur votre territoire ?
Un CHATONs sur votre territoire ?
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Angie Gaudion
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Angie Gaudion
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Seulement 2 participants pour découvrir ce qu'est le Collectif des Hébergeurs Alternatifs Transparents Ouverts Neutres et Solidaires (https://chatons.org/), les structures implantées sur les territoires Auvergne-Rhône-Alpes et PACA, les services fournis et les projets du collectif. Aujourd'hui, se pose la question de l'accompagnement des collectivités territoriales et des acteurs de la transition par les structures membres de CHATONS.
Un réseau de tiers-lieux dans le 05-04 ?
Un réseau de tiers-lieux dans le 05-04 ?
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Sandrine Percheval et Morgane Tetu
Auteur·e de la présente restitution
Sandrine Percheval
Compte-rendus ou éléments saillants de l'atelier
Problématique présentée : comment créer une communauté de tiers lieux / lieux tiers élargie au département 05et alentours autour du projet Fabrique de territoire porté par l'AFPA, France Active, ADRETS ?
Notes et pistes d'action relevées :
Points d'attention :
Citations :
Ingrédients pour la création de la communauté :
Ingrédients pour "donner à voir" le projet et susciter l'envie et l'implication :
Ressources citées et à explorer :
Notes et pistes d'action relevées :
Points d'attention :
- identifier les besoins des membres, redéfinir l'intention (ou l'attention)
- poser la raison d'être de cette initiative (ex : remettre l'humain dans le cadre du tiers lieux ?)
- ne pas oublier l'histoire (réseau déjà existants, lieux qui ne se définissent pas comme tiers lieux mais à fonction semblable : MJC, centres sociaux, etc.)
Citations :
- "la juxtaposition de plusieurs lieux ne suffit pas à faire tiers lieu"
- "un tiers lieu ne se décrète pas, il émerge"
Ingrédients pour la création de la communauté :
- redéfinir l'échelle d'intervention (par cercles concentriques ? 05, 04 ?)
- repérer les besoins des structures déjà identifiées sur le territoire
- connecter et donner à voir les liens déjà existants de chacun.e sur le territoire (identification des interactions possibles sur le territoire, des personnes ressources clés "serial linkers" ndlr : cf. système d'activités développée par Coodyssée)
- identifier les compétences différentes à mutualiser au sein du réseau
- co-créer de la ressource utile et à but de pérennisation
- identifier les connexions possibles avec d'autres typologies d'acteurs : exemple des communautés de communes, des offices de tourisme
Ingrédients pour "donner à voir" le projet et susciter l'envie et l'implication :
- réfléchir à des actions de communication réalistes et durables (repérer, fédérer, communiquer), ex : cabotage (viralisation) > chaque contact donne un contact qui donne un contact, etc.
- réaliser un "événement" de lancement (au delà d'inviter vers nous, aller vers), par exemple : circuit à vélo
- penser à un parcours touristique entre les lieux (attractivité du territoire). Tiers lieux = tourisme de demain ?
Ressources citées et à explorer :
- Notion de Living Lab
- Etude : Tiers lieux et offices de tourisme, Aquitaine : https://www.monatourisme.fr/tiers-lieux-offices-tourisme-europe/
- Livre : Entreprises altruistes > https://lentreprisealtruiste.com/
- "fouloscopie" : la sciences des foules, des mouvements de groupe > https://www.youtube.com/c/Fouloscopie/videos
Yeswiki - outils libre
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Mélanie Michel - Nicolas Geiger
Auteur·e de la présente restitution
co ecrit
Compte-rendus ou éléments saillants de l'atelier
https://annuel2.framapad.org/p/moustic2020